France, 1907 : Feuilles publiques qui ne pensent pas comme vous. Les cléricaux emploient surtout cette expression pour les journaux républicains, quand ceux-ci racontent quelque fredaine des membres du clergé.
Les journaux mal pensants ne manquent jamais de relater ces esclandres. Aussi, pour que la quantité ne puisse en être connue, l’archevêque a autorisé les prêtres du diocèse à ne pas porter la soutane.